Verigoud Cap ferret

On fait une pause, on revient vite

Background
share close

En attendant, retrouvez les podcats.

La pause

Il était une fois un homme qui travaillait sans relâche, du matin au soir, sans jamais s’accorder le moindre moment de détente. Il pensait que la pause était une perte de temps, une faiblesse, une distraction inutile. Il se croyait plus efficace, plus productif, plus méritant que les autres. Il méprisait ceux qui s’octroyaient des pauses, les traitant de paresseux, de fainéants, de rêveurs.

Un jour, il rencontra une femme qui avait une vision différente de la vie. Elle aimait travailler, mais elle savait aussi s’arrêter, respirer, se reposer. Elle prenait des pauses régulièrement, pour se ressourcer, pour se divertir, pour réfléchir. Elle trouvait que la pause était une source de créativité, de bien-être, de sagesse. Elle respectait ceux qui s’accordaient des pauses, les considérant comme des êtres humains, des êtres vivants, des êtres libres.

L’homme et la femme se plurent et décidèrent de vivre ensemble. Au début, l’homme ne comprenait pas le mode de vie de la femme. Il lui reprochait de ne pas travailler assez, de ne pas être assez sérieuse, de ne pas être assez ambitieuse. Il essayait de la convaincre d’abandonner ses pauses, de se consacrer entièrement à son travail, de viser toujours plus haut.

Mais la femme ne se laissait pas faire. Elle lui expliquait les bienfaits de la pause, les vertus du repos, les plaisirs de la détente. Elle lui montrait que la pause n’était pas une fuite, mais une pause. Une pause qui permettait de se reconnecter à soi-même, aux autres, au monde. Une pause qui favorisait l’équilibre, l’harmonie, le bonheur.

Peu à peu, l’homme se laissa séduire par les arguments de la femme. Il accepta d’essayer la pause, de goûter au repos, de profiter de la détente. Il découvrit alors un univers qu’il ignorait, un univers fait de sensations, d’émotions, d’impressions. Il ressentit le calme, la joie, la gratitude. Il apprécia le silence, la musique, la nature. Il réalisa qu’il n’avait pas besoin de travailler sans cesse pour être heureux.

Il comprit que la pause était une richesse, une force, une opportunité. Il remercia la femme de lui avoir ouvert les yeux sur cette réalité. Il lui dit qu’il l’aimait plus que tout au monde.

Et ils vécurent heureux et paisibles.

Fin.

Texte généré par intelligence artificielle.


0%